C’est l’hiver. C’est le Canada. On reste bien au chaud pour ne pas choper la grippe. Et bien faux, faux, faux, archi-faux ! Ou Presque. C’est effectivement l’hiver. On n’a pas été envahi (en tous cas je n’ai rien vu, rien entendu). Mais on sort ! Avec un ressenti de 14°c, ce serait dommage de rester enfermer. Au contraire, il faut marquer le coup ! … Quel coup ? Aujourd’hui, 20 février 2016, un nouveau record a été battu. Moment historique (jusqu’à la prochaine fois), aujourd’hui, nous avons vécu le 20 février le plus chaud de Toronto. Le dernier record datait de 1996. Bon ça ne veut pas dire que c’est l’été pour autant. Avant d’arriver sur les îles, faut quand même briser la glace que les -30°c de la semaine passée nous ont laissée.

Wendel Clark… Le nom ne vous dit rien ? Eh ! On ne peut pas tout savoir ! Moi-même, je ne savais pas qui était ce bonhomme avant ce matin ! Comme quoi en faisant le mouton de temps en temps, on peut parfois tomber sur de drôle de surprise ! Ce grand inconnu de la journée m’a dédicacé un palais de hockey (ou une rondelle, ou un puck) !

N’étant pas plus bêtes qu’un autre, vous aurez raison de conclure que Wendel Clark est un joueur de hockey sur glace. Après avoir regardé les photos, vous modifierez vos conclusions en affirmant que Wendel Clark était un joueur de hockey sur glace. Et c’est là que j’interviens en vous disant qu’effectivement, Wendel Clark était un joueur de hockey sur glace. Aujourd’hui à la retraite, il a joué la majorité de sa carrière au sein des Maple Leafs de Toronto (plus ou moins dans les années 1980s). C’était le meilleur buteur de l’équipe.

On déneige. On va se coucher. On se réveille. On peut recommencer ! Des tas grossiers aux bonhommes de neige démesurés, toutes les méthodes sont bonnes pour dégager les allées et faire un peu de sport !

Le coup de cœur de la St Valentin : la nouvelle affiche de la TTC.

Y’a des moments où ça vaut quand même le coup de se faire brûler par le froid…

Alerte "grand froid" dans tout l'Ontario. Willie aurait-il eu raison ? Une chose est sure, c'est pas l'printemps !

Et après avoir brûlé quelques calories dans la neige, on s’en remet d’autres dans les fesses avec une bonne poutine. Et à Toronto, une des meilleures « poutineries », c’est quand même Smoke’s poutinerie. J’en profite d’ailleurs pour vous dire que si la poutine est d’origine québécoise, Smoke’s poutinerie a vu le jour à Toronto. Ce sont eux qui ont ouvert la premier « restaurant » de poutine dans la ville. Perso, j’adore leurs logos. Ca fait vraiment pas gros clichés (ou alors à peine) ! 

Pour nous aujourd’hui, ce sera une « country poutine » (champignons, oignons, bacon et petit bois en plus des ingrédients traditionnels – frites, cheddar et sauce brune) et une « nacho poutine » (ingrédients de base + piments forts, crème fraîche, guacamole, sauce salsa, chili). Rien de plus à ajouter. C’était juste pour écœurer ceux qui n’en ont jamais mangé mais qui se sentent quand même obligé de critiquer le goût !