Hibernation ou hivernation ?
« A l’automne, lorsque les jours raccourcissent et que le temps se refroidit, l’ours noir se cherche une tanière pour hiberner. Il choisit alors une vieille souche d’arbre ou un endroit où les racines d’un arbre forment une caverne (eh oui ! on oublie le mythe de la grotte !). [Bien plus frileuse que le mâle], la femelle commence à hiberner plus tôt que le mâle qui attend souvent les premières chutes de neige en novembre pour entrer dans sa tanière (Brrrrrr !). La température corporelle de l’ours s’abaisse très légèrement, son rythme cardiaque ralentit et il puise dans ses réserves de graisse les calories nécessaires à son métabolisme de base ». En ce qui me concerne, j’ai décidé d’hiberner. Mes réserves de graisses ont été faites aux chutes du Niagara (une autre activité pour répondre à Sophie !). J’ai fait ma petite balade et hop ! Le repos s’est imposé.
Mais bon « durant toute la durée de l’hibernation, l’ours ne s’alimente pas, n’urine pas et ne défèque pas »… C’est ce qui me différencie d’un vrai ours : je peux hiverner mais certainement pas hiberner (j’ai trop besoin de manger !). Du coup, aux oubliettes l'hibernation, je fais mon comeback avant (bien avant même) l’arrivée du printemps ! Et voilà…
Il a réussi à sortir sa connerie !
Allé ! Promis, je vous mets les dernières "vraies" photos au plus vite.